Il faut savoir tout faire en Moi, en M'imitant et en mon Nom. Alors mon Père qui voit mon signe et ma ressemblance dans vos œuvres et il les bénit et les fait fructifier. Tu ne dois jamais dire, par une humilité erronée : "Je ne peux pas faire ça".
Je l'ai dit : "Vous ferez les mêmes œuvres que je fais". Justement parce qu'en restant en moi avec votre bonne volonté, vous devenez des petits Christs capables de me suivre, moi le vrai Christ, dans toutes les contingences de la vie.
Extraits des "Les CAHIERS DE 1943" de Maria Valtorta
Page 68, le 11 juin, Page 68,
ou les gémissements d'un Amour rejeté.
Pendant que j'étais dans mon état habituel, mon toujours aimable Jésus M’apparut tout agité.
Il m'embrassa. Son souffle était de feu.
Il me dit : "Ma fille, Je voudrais calmer les flammes de mon amour en les déversant dans les âmes des créatures. Mais elles les rejettent.
Lorsque J'ai créé l'humanité, J'ai prévu que mon amour serait le fondement de la vie des créatures.
Cet amour devait
- soutenir, fortifier et enrichir les créatures et
- s'harmoniser à tous leurs besoins.
Mais l'humanité a rejeté cet amour. Ainsi, depuis la création de l'homme, mon amour vagabonde partout et sans cesse. S'il est rejeté par une créature, Il va vers une autre. S'il est rejeté de nouveau, Il pleure. Ne trouvant pas de réciprocité, Il verse des larmes d'amour.
Mon amour pleure quand Il parcourt le monde et qu'Il trouve une créature faible et pauvre
- faible quant à la vie de l'âme,
- pauvre en grâces.
Il dit à cette créature : "Oh ! si seulement tu ne me laissais pas errer partout ! Si seulement tu me permettais d'habiter dans ton cœur ! Tu serais forte et tu ne manquerais de rien !"
En voyant une créature accablée par la culpabilité, Il pleure et dit à cette Créature : "Oh ! Si seulement tu m'avais ouvert les portes de ton cœur, tu ne serais pas tombée !"
S'Il rencontre une créature dominée par ses passions et souillée par le péché, Il lui dit :
"Oh ! Si tu acceptais mon Amour, tes passions n'auraient aucune force en toi, la boue du péché ne saurait t'atteindre, et mon Amour serait ton tout !"
Ainsi, brûlant d'éliminer toutes les misères des hommes, petites et grandes, l'Amour se lamente et erre partout en essayant de se livrer aux hommes.
Si l'homme m'avait aimé, aucun tourment ne l'aurait affligé. C’est le manque d'Amour des hommes qui a apporté tous ses problèmes et toutes mes souffrances.
Quand J'ai créé l'homme, J'ai agi comme un roi qui, désirant inonder son royaume de bonheur, plaça à la disposition de ses sujets un trésor de plusieurs millions afin que chacun puisse y puiser.
Même si ce trésor était accessible à tous, seulement un petit nombre s'en est prévalu, et cela d'une manière minime. Plus tard, soucieux de savoir si ses sujets avaient profité de ses largesses et désireux de mettre à leur disposition d'autres millions, le roi vint s'enquérir pour savoir si le trésor était épuisé.
En apprenant que ses sujets n'avaient pas profité de ses dons, le roi fut très peiné. Se promenant parmi eux, il en vit un couvert de guenilles, un autre malade, un autre affamé, un autre tremblant de froid et un autre sans toit. Attristé, le roi leur dit :
"Oh! si seulement vous aviez profité de mes trésors, alors, pour mon plus grand déshonneur, je n'en verrais pas en haillons ; au contraire vous seriez tous bien vêtus. Je n'en verrais pas de malades mais, au contraire, vous seriez tous en santé. Je n'en verrais pas d'affamés, tous vous seriez repus.
Si vous aviez profité de mes richesses, personne d'entre vous ne serait sans toit. Tous vous auriez pu vous construire une maison pour vous abriter."
Chaque misère éprouvée dans son royaume est une source de souffrance pour le roi, qui pleure à cause de l'ingratitude de ses sujets qui rejettent ses biens.
Sa bonté est si grande que, même devant cette ingratitude, il ne retire pas ses millions. Plutôt, il continue de les garder disponibles pour tous, dans l'espoir que les générations suivantes accepteront les bénéfices que ses sujets actuels dédaignent.
Ainsi, le roi recevra finalement la gloire qui lui revient pour tout le bien qu'il fait dans son royaume.
Je me conduis comme ce roi.
Plutôt que de retirer l'amour que J’ai donné, Je continue d'errer, en pleurant, jusqu'à ce que Je trouve des âmes qui prennent jusqu'au dernier centime de mes trésors d'amour. C'est alors que mes pleurs cesseront et que Je recevrai la gloire pour le don de mon amour octroyé par ma Divinité pour le bien de tous.
Sais-tu quelles seront ces heureuses âmes qui sécheront mes larmes d'Amour ? Ce sont les âmes qui vivront dans ma Divine Volonté. Celles-ci profiteront de tout l'Amour rejeté par les générations précédentes. Avec le pouvoir de ma Volonté créatrice, elles multiplieront cet Amour autant qu'elles le désireront et pour toutes les créatures qui l'ont rejeté.
Alors mes plaintes et mes pleurs cesseront et seront remplacés par le bonheur et la joie.
Mon Amour apaisé offrira à ces heureuses âmes tous les bénéfices dont les autres âmes n'ont pas profité.
LIVRE DE LA DIVINE VOLONTE
Tome 14, page 54 - 4 février 1922 –
de Luisa Piccarreta
Doux est le souvenir de Jésus,
Qui donne les vraies joies du cœur,
Mais plus que le miel et toutes choses Est Sa douce Présence.
Rien de plus suave n’est chanté,
Rien de plus joyeux n’est écouté,
Rien de plus doux n’est pensé,
Que Jésus, le Fils de Dieu.
Ô Jésus ! Espoir du pénitent,
Que Vous êtes doux pour ceux qui Vous prient !
Bon pour ceux qui Vous cherchent !
Mais que n’êtes-Vous pour ceux qui Vous trouvent ?
La langue ne veut le dire, ni l’écriture l’exprimer ;
Qui l’a éprouvé peut croire
Ce que veut dire choisir Jésus.
Soyez, ô Jésus, notre joie
Vous qui devez être notre récompense,
Que notre gloire soit en Vous,
À travers tous les siècles, toujours.
Ainsi soit-il.
Hymne Jesu dulcis memoria
de Saint Bernard de Clairvaux
Prière sur les Plaies sacrées de Jésus de Sainte Catherine de Bologne «
Ô mon âme, regarde ton Sauveur qui, déchiré de mille blessures, jette les yeux sur toi » :
Ô mon âme, objet des bénédictions du Créateur suprême, regarde ton Sauveur qui, déchiré de mille blessures, jette les yeux sur toi.
Regarde ces Pieds, troués et percés par les clous ; comme ils sont tourmentés par les coups de marteau !
Songe cependant qu’Il surpassait en beauté toute créature, et que sa Chair innocente l’emportait sur toute perfection.
Regarde cette Plaie qu’Il reçut au côté droit ; considère comme son Sang divin a satisfait pour toutes tes offenses ; vois comme Il fut blessé par une lance cruelle, et comme Il permit qu’en faveur de chaque fidèle le fer Lui traversât le Cœur !
Regarde ces Mains qui t’ont faite et qui t'ont formée ; vois comme ces barbares les ont percées !
À cette vue écrie-toi avec amertume et avec larmes : ô Seigneur, avec quels généreux élans Vous avez couru sur la Croix pour y mourir pour nous d’une mort qui Vous a coûté si cher !
Regarde son Chef divin, qui était si beau ; vois comme Il est déchiré par les épines et tout couvert de sang !
Ô mon âme, c’est ton Époux ! Pourquoi donc ne verses-tu pas des larmes, et pourquoi, en les versant, ne noies-tu pas dans leurs flots chacun de tes maudits péchés ? ois comme Il est blessé de toutes parts, pour l'amour de toi, sur le bois cruel !
Il est mort, ton doux Seigneur, afin d’expier ton crime. Pour t’introduire dans son Royaume, Il a consenti à être crucifié ! Ô mon âme, fixe ton regard sur Lui, et que cette vue t’inonde d'ineffables délices. »
Sainte Catherine de Bologne
Même si le cœur se brise devant la souffrance que les hommes causent à mes hérauts, que ces bien-aimés ne tremblent pas et ne reculent pas. Je suis avec eux et c’est ici, dans cette blessure, que mes colombes, blessées par de cruels éperviers, trouveront leur nid. Je les appelle et je leur dis : "Viens, venez, mes colombes, vous reposer auprès de celui qui vous aime. Venez dans le nid que je vous ai préparé, où j’essuierai toutes vos larmes et guérirai votre blessure, où je vous nourrirai du fruit de l’arbre de vie et vous désaltérerai au fleuve d’eau vive qui jaillit sous mon trône ; alors vous porterez mon Nom sur votre front et le signe de mon Cœur sur votre cœur, et vous règnerez pour l’éternité, car vous avez conquis l’Amour par votre amour."
Extrait des CAHIERS DE 1944
de Maria Valtorta,
2 juin 1944
Qui n’aime pas n’est pas sanctifié. C’est le cœur qui aime. Qu’aime-t-on chez l’être aimé ? Son cœur. Comme, chez une mère, c’est le cœur de son enfant qui se forme en premier, ainsi c’est le Cœur de leur Seigneur qui se forme en premier dans le cœur de ceux qui portent Dieu au monde.
Quand il bat au-dedans de vous, Jésus est déjà né en vous, il vous parle, vous caresse et vous apporte le Père et l’Esprit, car là où se trouve l’Un, les Deux autres ne sont pas absents. Vous êtes donc un ciel où les merveilles de Dieu s’accomplissent, d’où ses splendeurs suintent et dont il sort des mots qui sont lumière et paroles du Dieu qui habite en vous.
Oh ! Bienheureux êtes-vous de comprendre à quel point je vous aime et de répéter cet amour au monde pour le convaincre de m’aimer.
Je t’ai montré cette famille de saints dont la passion fut mon Cœur, car tu es leur petite sœur.
Le Cœur de ton Jésus et sa croix sont tes buts d’amour. Mais le Cœur de Jésus a été ouvert sur la croix. C’est dans le plus grand opprobre qu’il vous a obtenu le refuge suprême, pour vous dire que, plus on accepte d’être vilipendé pour faire la volonté de l’Eternel, plus on devient salut et bénédiction pour ses frères coupables.
Extrait des CAHIERS DE 1944
de Maria Valtorta,
2 juin 1944
Je le veux. Avec votre grâce, je me livre à votre Amour Miséricordieux, m'offrant à accepter d'avance tout ce que vous voudrez de moi pour la gloire de votre Père, pour l'extension de votre Règne et pour les intérêts de la Sainte Eglise.
"Je veux revenir sur cette terre dans mes christs, pour relever ceux qui sont tombés, pour ranimer ceux qui sont endormis dans les ténèbres et l'ombre de la mort.
Les pécheurs, je les confonds avec mon Corps couvert de plaies
Vous qui m'aimez ayez pitié de mes Plaies vivantes.
Faites pour les pécheurs ce que vous faites pour mon Sacré Corps couvert de blessures.
Ce que vous ferez aux pécheurs, c’est à votre divin Crucifié que vous le ferez.
Ayez le respect des pécheurs comme vous respectez le Crucifix,
Les pécheurs captifs de leurs passions, comme j'étais prisonnier de la Croix.
Les pécheurs sont mes Plaies : ayez pitié des pécheurs.
J'ai soif du salut des pécheurs.
Allez aux pécheurs pour les aimer. L'amour fraternel, c'est la clef du salut des pécheurs.
Aimez les pécheurs, vous qui êtes mes amis afin que les pécheurs sachent que Je les aime.
Dites en vérité avec Moi : je ne veux pas la mort du pécheur, mais qu'il vive et se convertisse.
Ce sera l'œuvre de ma Miséricorde.
Prie pour les pécheurs.
Extrit du LIVRE DE L'AMOUR MISERICORDIEUX
Donné à MARIE-ANGE
86 - Seigneur, je ne trouve rien en moi qui soit digne de vous être offert.
"Ne t'ai-je pas dit que Je suis un collectionneur de misères ? Je suis ce raccommodeur de porcelaine qui n'est heureux que sans son art se déploie sur les milles morceaux d'une belle pièce. Je suis ce peintre content d'avoir ravivé les couleurs d'une toile morte. Je suis ce chirurgien qui a remis, solides, des membres brisés.
Rien, ni personne n'est au-delà de Mes soins. Mes soins sont gratuits. J'y trouve le paiement quand vous faites attention à observer Mes commandements et qu'avec votre simple tendresse d'enfant, vous me dites "Merci, mon cher Dieu".
Est-ce trop difficile ?
LUI et moi de Gabrielle Bossis
9.3.50
Jésus dit :
"Au lieu d’inviter les gens à Me recevoir à un titre ou à un autre, cherchez à découvrir d’abord leur besoin du moment. Alors seulement vous leur parlerez de Moi comme de Celui qui peut pleinement y pourvoir.
Il arrive souvent qu’on n’éprouve en rien le besoin d’un Sauveur. C’est bien plutôt un Ami qu’on cherche. Parlez alors de Moi comme du Grand Ami.
Ou bien on ne désire nullement un guide. On veut simplement être compris. Dans ce cas, montrez en Moi le Christ qui toujours comprend ceux qui s’adressent à Lui.
Quand il s’agit des besoins des uns et des autres, comptez sur Moi pour les satisfaire, comme je le fais pour vos propres besoins".
Vivre par l’ESPRIT
23 juin :
Edition A la Baconnière
"Ma fille, tu mets de l’amertume dans ma fête.
En fait, lorsque Je manifeste une Vérité, Je le fais parce que Je veux fêter avec la créature; mais si elle n’a pas pleine confiance en Moi et commence à douter, la fête est interrompue et se transforme en amertume.
J’agis comme celui qui a un ami intime : aimant beaucoup cet ami, il veut déverser dans le cœur de son ami tout ce que contient le sien ; et en lui confiant ses secrets et ses joies cachées, il lui révèle tout ce qu’il possède. Mais l’ami qui l’écoute montre qu’il ne le croit pas, et il doute de ce que lui dit son ami. Il remplit son ami d’amertume et tourne son effusion en tristesse ; alors, dans sa peine, il regrette presque ses confidences et, avec chagrin, il se retire.
Par contre, s’il le croit, non seulement cet ami ne le remplit pas d’amertume, mais il participe à ses biens; c’est ensemble qu’ils célèbrent les joies que son ami possède et leur amitié est liée d’un double lien d’amour. Je suis comme cela et plus encore qu’un ami.
J’aime tant celle que j’ai choisie comme ma petite secrétaire que je veux vider mon Cœur et lui confier mes Secrets, mes Joies, mes Chagrins cachés, mes Vérités surprenantes, pour fêter avec elle et lui communiquer autant de Vies Divines que Je lui manifeste de Vérités. Si Je vois qu’elle Me croit, Je Me réjouis et Je sors en fêtant les joies et le bonheur d’une Vie Divine qui possède l’Infinité de tous les Biens ; et l’âme est comblée et fête avec Moi. Mais si Je la vois hésitante, je suis dans l’amertume, et elle reste privée de la Vie que je voulais lui confier. Tu répètes souvent ces scènes de méfiance envers Moi. Aussi, sois attentive, et ne transforme pas Mes joies en chagrins".
Je demeurais toute confuse et ne savais que répondre. Après quoi j’ai continué mes rondes dans la Divine Volonté et mon doux Jésus ajouta :
"Ma fille, lorsque l’âme entre dans ma Volonté elle y branche son fil électrique qui peut aller partout où l’on veut former de la lumière. En fait, la lumière n’est pas formée là où se déroule le fil, mais à son extrémité en concentrant l’électricité de lumière en une ampoule lumineuse.
Lorsque la volonté humaine entre dans la Mienne, les reflets du Soleil de mon Fiat la convertissent en lumière et elle forme sa petite lumière ; et l’électricité de ma Volonté étend le fil de la volonté humaine et, plus qu’une ampoule électrique, forme sa petite lumière sur le point que l’âme voudrait atteindre devant Dieu.
Et Dieu, voyant la petite lumière de la volonté humaine, l’investit, et avec l’électricité de sa Lumière Divine, Il la convertit en soleil et forme le plus bel ornement de son Trône Divin. Cela est si beau et si admirable à voir que l’âme de la terre, en entrant dans ma Divine Volonté, met en elle son fil électrique pour le Ciel. Et ce fil s’étend jusqu’à atteindre le centre de ma Volonté, qui est Dieu, pour former son ornement de lumière ; et ces lumières se convertissent en soleil.
Le LIVRE DU CIEL de Luisa Piccarreta
Vol 24, 6 juin 1928
"Ma fille, si l'âme est remplie de Moi jusqu'au bord, au point de déborder, c'est-à-dire si elle ne pense qu’à moi, ne cherche que moi, ne parle que de moi et n’aime personne d’autre que moi, s’il semble que rien d’autre que moi n’existe pour elle et que tout le reste l’ennuie. Au plus, elle n’accorde que des miettes à ce que qui n’est pas Dieu, par exemple aux choses nécessaires à la vie naturelle. C’est ce que font les saints."
(28 février 1912).
Oui, parle-moi avec spontanéité de tout ce qui te préoccupe. Je laisse une large marge à ton initiative. Ne crois pas que ce qui te concerne peut me laisser indifférent puisque tu es quelque chose de Moi. L'essentiel pour toi, c'est de ne pas m'oublier, de t'adresse à Moi avec tout l'amour et toute la confiance dont tu es actuellement capable.
Quand le Seigneur parle au cœur,
de Gaston Courtois.
Page 10
"Approche-toi ô âme de ma Trinité adorable et tu La connaîtras mieux et, la connaissant mieux, tu L'aimeras davantage, jusqu'à en faire tes délices. Là, c'est la Joie en sa plénitude ! Qui dira les ardeurs qui poussent les deux premières Personnes divines l'une vers l'autre... qui Me poussent, Moi le Père, vers le Fils et qui Le Poussent, Lui le Fils vers Moi, el Père !
Les deux premières Personnes de la Sainte Trinité s'aiment sans trêve, sans fin, sans bornes, sans limites et cet Amour est le Saint-Esprit. L'Amour ininterrompu, l'Amour ardent, brûlant, la première Personne attirée vers la Deuxième, la Deuxième vers la Première et ainsi toujours, comme si chaque élan était le premier ; et cet amour étant la troisième Personne : le Saint Esprit.
Extrait de Divins Appels
de Marie Sevray
Mon adorable Sauveur Jésus-Christ !
Pour Vous témoigner mon amour aussi parfaitement que possible et pour Vous glorifier autant que je le peux, je fais avec Vous l'alliance suivante, à laquelle je veux toujours rester fidèle :
1) Je veux, ô mon Jésus, que chacun de mes regards soit un renouvellement de mon entière consécration à votre divin Cœur et le signe de l'ardent désir que j'ai de Vous voir constamment en ce monde avec les yeux de la foi, et de Vous contempler un jour dans le Ciel.
2) Je veux que chaque battement de mon cœur soit le signe de l'amour ardent que je Vous consacre, et une supplique que je Vous adresse pour me détacher de moi-même et de toutes les créatures, afin de n'aimer que Vous.
3) Je désire que chacun de mes soupirs soit l'expression de mon ardent désir de Vous recevoir dans mon cœur, de voir s'établir le règne de votre amour sur moi et sur tous les hommes, et le témoignage de l'entier abandon de moi-même à votre très sainte volonté.
4) Je veux, par chacune de mes pensées, paroles et actions, Vous donner autant de louanges et d'adoration, autant de remerciements et de réparations, que toutes les créatures réunies Vous en donneront toujours. Je veux que chacun d'eux soit la manifestation de mon désir d'avoir toutes les saintes intentions que votre grâce a inspirées et inspirera à vos serviteurs ; et aussi de gagner toutes les indulgences que je pourrai obtenir, que je remets entre les mains de votre Mère, la très Sainte Vierge Marie, en faveur des âmes du Purgatoire qu'Elle veut délivrer pour votre plus grande gloire.
5) Enfin, mon divin Maître, je veux que chacune de mes pensées et chacun de mes mouvements deviennent un acte, par lequel j'offre au Père céleste votre passion et votre mort, toutes les messes qui ont été et qui seront encore célébrées sur la Terre, tous Vos mérites, ceux de Votre Très Sainte Mère et ceux de tous les saints avec l'intention d'adorer la divine Majesté, de remercier Dieu pour ses grâces et ses bienfaits, de réparer tous les péchés, et d'obtenir la conversion des infidèles et de tous les pécheurs, la persévérance des justes, et la délivrance des âmes du Purgatoire. Daignez, Seigneur, bénir et confirmer cette alliance pour toujours.
Ainsi soit-il.
Extrait du livre Adoremus -
Manuel de prières et d'exercices pieux de Mgr Herberhold)
22 . "Appelle moi comme la Lumière qui peut éclairer ton esprit, comme le Feu qui peut enflammer ton cœur, comme la Force qui peut bander tes énergies. Appelle-moi surtout comme ton Ami qui désire partager avec toi tout ce qui est ta vie, comme ton Sauveur qui souhaite purifier ton âme de ton égoïsme, comme ton Dieu qui aspire à t'assumer en Lui dès ici-bas, en attendant la prise en charge totale dan la lumière de l'Eternité".
QUAND LE SEIGNEUR PARLE AU CŒUR
de Gaston Courtois
11 Appelle-moi au secours, doucement, calmement, amoureusement. Ne crois pas que je sois insensible aux délicatesses de l'affection. Oui, tu m'aimes : mais prouve le Moi davantage.
QUAND LE SEIGNEUR PARLE AU CŒUR
de Gaston Courtois
"Ma Bien Aimée, lorsque je t'envoie une joie, dis-moi "Merci Seigneur", avec amour.
Ma Bien Aimée, lorsque je t'envoie une peine, dis-moi deux fois : Merci Seigneur avec amour ;
Ma Bien Aimée, lorsque je te plonge dans un océan d'amertume, dis-moi trois fois : Merci Seigneur avec joie et amour alors je viendrai près de toi et avec toi je porterai ta croix qui te sera si légère que ta tristesse se changera en allégresse.
Extrait de
la Montée lumineuse du bonheur
de Suzanne Foinard
Chapitre Acceptation
Jésus à Sainte Marguerite Marie :
"Je ne peux m'empêcher de m'unir étroitement à ceux qui portent la croix avec amour pour moi".
"Je t'aime et la gaieté que tu ressens est la preuve de mon amour et du fait que tu me contentes assez.
Quand je suis en paix avec un cœur, je donne la joie et la paix. C'est ça le signe.
En ce qui a trait à l'avenir... Que veux-tu savoir, pauvre âme ?! Tu n'es pas loin de la vérité et ce matin tu l'as effleurée... Mais aurais-tu le courage de la reconnaître pleinement ? Remercie ma miséricorde qui pour l'instant, te la cache en grande partie. Prie. La Pentecôte est proche.
Celui qui vit dans la charité et la pureté est déjà sur un Calvaire et il me plait. C'est à Moi de donner à chacun de la façon que Je veux, la croix qui lui revient.
Va. Je te donne Ma paix.
Les Cahiers de 1943
Le 31 mai.
De Maria VALTORTA
"Rappelle toi et sois toujours docile à Ma volonté que tu dois voir en toute chose, même dans la plus minuscule et que tu dois toujours percevoir comme étant mue par le désir de ton bien.
Tu dois être comme une herbe fleurie qui s'incline et se relève à chaque souffle d'Amour, car ma volonté est amour. Et tout en toi doit répondre à mon amour avec l'amour.
Même le regard que tu poses sur ton prochain doit être un regard d'amour, toujours.
De cette façon, même un simple regard te méritera une caresse de Moi.
Les Cahiers de 1943
2 Juin
De Maria VALTORTA
Jésus, Vous êtes le seul et véritable Ami.
Vous prenez part à tous mes maux, Vous vous en chargez,
Vous savez le secret de me les tourner en bien, Vous m’écoutez avec bonté, lorsque je Vous raconte mes afflictions, et Vous ne manquez jamais de les adoucir. Je Vous trouve toujours et en tout lieu ; Vous ne Vous éloignez jamais ; et si je suis obligé de changer de demeure, je ne laisse pas de Vous trouver où je vais. Vous ne Vous ennuyez jamais de m’entendre ; Vous ne Vous lassez jamais de me faire du bien. Je suis assuré d’être aimé, si je Vous aime. Vous n’avez que faire de mes biens, et Vous ne Vous appauvrissez point en me communiquant les Vôtres. Quelque misérable que je sois, un plus noble, un plus bel esprit, un plus saint même ne m’enlèvera point Votre amitié ; et la mort qui nous arrache à tous les autres amis, me doit réunir avec Vous. Toutes les disgrâces de l’âge ou de la fortune ne peuvent Vous détacher de moi ; au contraire, je ne jouis jamais de Vous plus pleinement, Vous ne serez jamais plus proche que lorsque tout me sera le plus contraire. Vous souffrez mes défauts avec une patience admirable ; mes infidélités mêmes, mes ingratitudes ne Vous blessent point tellement que Vous ne soyez toujours prêt à revenir, si je veux.
ô Jésus, accordez moi de le vouloir afin que je sois tout à vous pour le temps et pour l'éternité".
Saint Claude La Colombière (1641-1682)
Jésus prévient ses apôtres :
"Et je vous dis que celui qui me reconnaîtra devant les hommes, Je le reconnaîtrai, Moi devant mon Père qui est aux Cieux. Mais celui qui me reniera devant les hommes, Moi aussi, je le renierai devant mon Père.
Reconnaître, ici veut dire suivre et mettre en pratique ; renier veut dire abandonner mon chemin par lâcheté, par la triple concupiscence, ou par un calcul mesquin, par affection humaine envers un des vôtres qui m'est opposé. Parce que cela se produira"
Extrait de L'EVANGILE TEL QU'IL M'A ETE REVELE de Maria Valtorta, page 300, 4e Tome
"Je suis Thérèse de Jésus"
"Je suis Jésus, de Thérèse !"
en relisant cette note, je me rends compte comme c'est absolument vrai.
Même en ce qui concerne des choses à laquelle je ne pense pas encore !
Quelle Gloire ô mon Seigneur.
MEDITATIONS D'ANNA-CATHERINE EMMERICH
LA DOULOUREUSE PASSION DE NOTRE SEIGNEUR JESUS CHRIST
Je vis Jésus priant encore dans la grotte, luttant contre les répugnances de sa nature humaine, et s'abandonnant à la volonté de son père. Ici l'abîme s'ouvrit devant lui et les premiers degrés des Limbes lui apparurent. Il vit Adam et Eve, les patriarches, les prophètes, les justes, les parents de sa mère et Jean-Baptiste attendant avec un désir si violent son arrivée dans le monde inférieur que cette vue fortifia et ranima son cœur plein d'amour. Sa mort devait ouvrir le ciel à ces captifs, elle devait les tirer de la prison où ils languissaient dans l'attente. Lorsque Jésus eut regardé avec une profonde émotion ces saints de l'ancien monde, les Anges lui présentèrent toutes les cohortes des bienheureux à venir qui joignant leurs combats aux mérites de sa passion devaient s'unir par lui au père céleste. C'était une belle et consolante vision. Il vit le salut et la sanctification sortant à flot intarissable de la source de rédemption ouverte par sa mort.
Les Apôtres, les disciples, les vierges et les femmes, tous les martyrs, les confesseurs et les ermites, les papes et les évêques, des troupes nombreuses de religieux, en un mot, l'armée entières des bienheureux s'offrit à sa vue. Tous portaient sur la tête des couronnes triomphales, et les fleurs de leurs couronnes différaient de forme, de couleur, de parfum et de vertu suivant la différence des souffrances, des combats et des victoires qui leur avaient valu la gloire éternelle. Toute leur vie et tous leurs actes, tous leurs mérites et toutes leurs forces ainsi que toute la gloire de leur triomphe venaient uniquement de leur union aux mérites de Jésus-Christ.
MEDITATIONS D'ANNA-CATHERINE EMMERICH
LA DOULOUREUSE PASSION DE NOTRE SEIGNEUR JESUS CHRIST
Il semble qu'une incohérence technique se soit glissée dans la redirection de l'adresse mail. Nous nous en excusons car vos messages ne sont pas arrivés à destination et vous n'avez donc pas reçu de réponse.
Nous en sommes extrêmement désolés. Nous en sommes même meurtris de cette erreur lourde dont nous sommes responsables.
Veuillez nous en excuser.
Veuille