Ces scientifiques témoignent
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Les sciences dans leur ensemble disposent l’esprit à reconnaître que Dieu existe, que l’âme existe, que la loi morale existe que nous sommes faits pour une destinées surhumaine.
Pierre Termier
géologue,
Académies des Sciences
Pierre Termier est né à Lyon (1859 - 1930. Spécialiste de la tectonique et de la synthèse structurale des Alpes, il a étudié les mouvements tangentiels de la chaîne.
Je suis venu à Dieu par le raisonnement scientifique.
Lucien Barnier
Lucien Barnier (1918 - 1979) fut un journaliste scientifique et écrivain français, licencié en lettres.
Résistant. Communiste de 1934 à 1960. Avec Pierre Desgraupes, il participera à plusieurs émissions de 5 colonnes à la une. Il fondera une agence de presse spécialisée dans les domaines scientifiques et médicaux "Science-Service", il sera l'un des précurseurs de la rubrique scientifique à Radio Luxembourg (RTL) (1957-1970) puis c'est France Inter, France 3, ainsi que de nombreux articles pour la presse quotidienne régionale et nationale.
Il est également l'auteur de nombreux ouvrages scientifiques traduits en plusieurs langues : La Terre, planète inconnue (1957), À quoi rêvent les savants soviétiques (1958), Terres du ciel (1963), La télévision entre les lignes (1967), L'odyssée des océanautes (1968), Les années terribles de l'espérance (1972) et J'ai quitté le Parti pour Dieu (1978).
Il décède le 3 février 1979 des suites d'un cancer.
Alexis Carrel, Prix Nobel
de son vrai nom Marie Joseph Auguste Carrel-Billiard, né à Sainte-Foy-lès-Lyon le 28 juin 1873 et mort à Paris le 5 novembre 1944, est un chirurgien et biologiste français.
Etabli aux Etats-Unis, il travaille à l'Institut Rockfeller de New-York
sur la suture des vaisseaux sanguins, la greffe des tissus et des organes, créant la chirurgie vasculaire, étudiant également la survie des cellules des tissus et des organes en dehors du corps.
En 1915, il met au point la fameuse eau Dakin qui, empêchant l'infection des blessures, sauve la vie de plus d'un million de soldats durant la grande guerre.
Alexis Carrel est également un pionnier de la transplantation d'organes et créa avec Charles Lindbergh la circulation extra-corporelle ouvrant la voie à la chirurgie thoracique et à celle de l'aorte.
Ces travaux lui valent en 1912, le Prix Nobel de Médecine.
S'étant fait mondialement connaître par la publication de L'Homme, cet inconnu
en 1935, il se convertit au catholicisme, et plaida notamment pour l'eugénisme, ainsi que pour une politique nataliste.
A la suite de sa conversion, les francs-maçons l'ont carrément persécuté de leur vindicte.
Ce qui est divertissant dans l'histoire de la vie d'Alexis Carrel c'est le fait étonnant et irrationnel, dont il a été témoin qui suscita sa conversion. Comme tout médecin qui se respecte (!), Alexis n'a pas l'intention d'avoir la foi en Dieu, il n'y croit pas, "tout ça" ce n'est pas pour lui..
Par un concours de circonstances particulier (comme seul, Dieu peut les arranger), il se retrouve un jour à être "embarqué" pour un voyage à Lourdes, en train pour accompagner les malades.
Dés le quai de gare, il prend connaissance des malades et constate que dans le groupe, sur une civière, il y a une femme qui l'inquiète plus que toutes les autres. Son état de santé est si agravé, qu'Il craint qu'elle n'arrive pas vivante à Lourdes, tant son état est inquiétant. Il reste proche d'elle pendant le voyage et il en est convaincu, elle n'arrivera pas vivante à destination.
Au matin, la malade est toujours vivante. A Lourdes, on amène à la Grotte tous les malades, en civière, en chaise roulante, en cannes, tout le monde se retrouve à prier devant Marie. Et merveille étonnante, la malade qui inquiète tant Alexis Carrel ressort guérie après qu'elle ait été plongée dans le bain de l'eau de Lourdes.
C'est le miracle qu'il fallait à Alexis pour qu'il se pose enfin les bonnes questions. Le voilà croyant, pres pour une exploration du merveilleux qui nous entoure.
Il est l'auteur d'un très beau livre sur la prière, à lire !
Etabli aux Etats-Unis, il travaille à l'Institut Rockfeller de New-York sur la suture des vaisseaux sanguins, la greffe des tissus et des organes, créant la chirurgie vasculaire, étudiant également la survie des cellules des tissus et des organes en dehors du corps.
Ces travaux lui valent en 1912, le Prix Nobel de Médecine.
Est-ce la jalousie suscitée par l'obtention de son prix Nobel de Médecine ? Est-ce sa conversion ? Le reste de sa vie sera perturbée par les agissements et l'opposition des francs-maçons de son époque. Ils lui feront vivre plus d'une avanie.
"On peut prier partout.
Dans la rue, en automobile, en wagon, au bureau, à l’école, à l’usine.
Mais on prie mieux dans les champs, les montagnes et les bois, ou dans la solitude de sa chambre.
Il y a aussi les prières liturgiques qui se font à l’église. Mais, quel que soit le lieu de la prière, Dieu ne parle à l’homme que si ce dernier établit le calme en lui-même".
Un médecin parle de la prière (1944)
Nous lui devons quelques citations :
"L’histoire des saints, même modernes, relate beaucoup de faits merveilleux. Il n’est pas douteux que la plupart des miracles attribués, par exemple, au curé d'Ars, sont véridiques. Cet ensemble de phénomènes nous introduit dans un monde nouveau, dont l'exploration n’est pas commencée et sera fertile en surprises.
Ce que nous savons déjà de façon sûre, c’est que la prière produit des effets tangibles."
Un médecin parle de la prière (1944)
"La prière est toujours suivie d’un résultat si elle est faite dans des conditions convenables. "Aucun homme n’a jamais prié sans apprendre quelque chose" écrivit Ralph Emerson. Néanmoins, la prière est considérée par les hommes modernes comme une habitude désuète, une vaine superstition, un reste de barbarie. En vérité, nous ignorons presque complètement ses effets".
Un médecin parle de la prière (1944)
Louis Pasteur, la foi d'un grand scientifique
La foi de Louis Pasteur (1822-1895)
"Un peu de sciences éloigne de Dieu, beaucoup en rapproche".
Une enfance pieuse
"J'ai gardé la foi de mon enfance" écrira-t-il un jour à ses parents.
Louis est né à Dole dans le Jura, (un musée est consacré à ce grand homme de Sciences, il fait la fierté de Dole). Son père, par tirage au sort est fait soldat de Napoléon et à son retour à Dole exercera son métier de tanneur.
Une adolescence concentrée sur les études et sa foi
Il étudiera à Besançon et par certains de ses anciens camarades de l'Ecole Normale Supérieure, nous savons qu'il portait sa foi avec détermination et conviction. Il lisait Lamennais et citait volontiers "Les paroles d’un croyant"
à ses camarades.
Etudiant à Paris, il assistait régulièrement aux conférences chrétiennes, notamment celle de Monseigneur de Quelen à Notre Dame. Il y rencontrera Lacordaire, homme politique français et Ozanam, Ampère et tant d'autres esprits scientifiques et chrétiens.
Adulte, il ne fut pas toujours pratiquant, il considérait que son travail était en soit une prière. Mais il a toujours été croyant. Il n'aurait cependant laissé passer aucune fête religieuse sans y participer. Il connaissait et croyait à l'Evangile et à Jésus, au Dieu de l'Evangile. Il croyait à la vie éternelle et croyait qu'il retrouverait au Ciel tous ceux qui y étaient déjà, tous ses êtres chers partis dans la miséricorde de Dieu.
Il n'hésite pas à s'opposer aux bien-pensants
Face aux hommes célèbres, des Arts, des Lettres et des Sciences de son époque qui n'hésitaient pas à nier les merveilles et les lois divines, il savait s'opposer à ces "grands esprits négateurs". Jamais il n'a renié ses convictions.
Les épreuves de la Vie
Après le décès de sa petite Jeanne en 1859, il écrira à un proche, que "sa fille vient d'aller au Ciel pour prier pour nous". Sa peine et son chagrin qui suivra la mort de son enfant ne le conduira pas à la révolte et à la négation de Dieu comme font certains esprits tièdes. Au contraire il trouve son appui dans l'espérance en la vie éternelle et qu'à sa propre mort, il retrouvera son enfant bien aimée. Tout le reste de sa vie spirituelle restera intime. Sa femme très pratiquante le portera assurément dans ses prières. Malgré une vie religieuse un peu "distendue" pour cause de travail scientifique prenant, il ne craindra jamais d'affirmer sa foi, de témoigner de ses convictions les plus intimes et il n'hésitera jamais à s'opposer aux négateurs de toute espèce.
Son travail fécond
Louis Pasteur est le scientifique français le plus connu au monde, chimiste et physicien de formation, pionnier en microbiologie. Il a eu la satisfaction de voir ses travaux reconnut de son vivant, leurs utilités aussi. Il a beaucoup travaillé sur les fermentations, il démontra qu'un bouillon de culture ne se développait que si l'air y avait pénétré. Il travailla sur la stérilisation, sur les vinaigres, les bières pour démontrer le processus de transformation. C'est par son travail incessant qu'il établit le processus de conservation : la pasteurisation !
Fort de ses travaux, le gouvernement de l'époque lui demanda de travailler sur les maladies du ver à soie, il en découvrit deux maladies différentes et indiqua le procédé pour en éradiquer les effets, ce qui a sauvé la sériciculture en France à l'époque.
Nous reprenons ces deux derniers paragraphes à https://laphilopourlesbelettes.wordpress.com/louis-pasteur-1822-1895/ :
Enfin, il aborda l’étude des maladies contagieuses qui devait immortaliser son nom. Après avoir découvert les vaccins par l’examen du choléra des poules, il donna la méthode pour vacciner les animaux contre ce terrible fléau. Enfin, pour terminer une carrière si remplie, Pasteur, en 1885, publia sa méthode de guérison de la rage.
Son travail a accomplit une véritable révolution dans l’art de guérir; elles ont précisé les modes de contagion et, par suite, indiqué les moyens de l’éviter. Grâce à elles, la chirurgie a pratiqué l’antisepsie, l’asepsie, l’isolement des malades et, a pu aborder des opérations jadis toujours mortelles. Si la médecine proprement dite a moins profité des enseignements de Pasteur, elle a pu, cependant, par la découverte des substances vaccinantes, atténuer les ravages de la diphtérie, de la rage chez l’homme, du charbon chez les animaux, etc. L’industrie elle-même a vu dans Pasteur un précieux collaborateur: ses méthodes de fermentation ont donné un nouvel essor à la fabrication des bières, des alcools, etc…