"Presque personne ne les connait parce qu'elles sont cachées en Moi. Ce n'est qu'au Ciel qu'elles seront parfaitement connues..."
Sous la dictée de JESUS, Le LIVRE DU CIEL
de Luisa Piccarreta
Tome 11, 25 novembre 1912
Jésus dit à Sœur Marie Benigna Consolata :
"Exécuteurs de ma volonté, et instruments de ma miséricorde, ce sont les créatures qui me font connaître. Je choisis moi-même ces âmes destinées à faire revivre l’esprit chrétien dans la société et dans le peuple ; je les forme moi-même ; je les comble de grâces, les préparant ainsi à leur mission.
Il y en eut dans le passé, il y en a présentement et j’en susciterai d’autres dans l‘avenir.
Tu es une de ces âmes, Marie : maintenant dans la famille, plus tard dans le monastère, et enfin du monastère dans le monde, doit se répandre le suave parfum des vertus que je cultive en toi avec tant d’amour.
Il y a plus de saintes que de saints parmi les "voix" qui parlent de mon Cœur, car la délicatesse de l’amour est une qualité essentiellement féminine.
Jean, l’angélique, est au nombre des saints pour avoir eu un cœur de petite fille dans un corps de héros. C’est le premier qui ait compris mon Cœur. Mais tous les saints sont des fruits de mon amour, de l’amour pour mon Cœur. Même ceux qui paraissent avoir été créés pour devenir les apôtres d’autres dévotions sont en réalité les fruits de mon Cœur et de l’amour pour lui.
Extrait des CAHIERS DE 1944
(dictées de Jésus données à )
Maria Valtorta
2 juin 1944
1898 - 1962
Alors que je me trouvais dans mon état habituel, mon adorable Jésus me fit voir sa très sainte Humanité avec toutes ses blessures et ses souffrances.
De ses blessures, et même des gouttes de son sang, sortaient des branches chargées de fruits et de fleurs ; et il me semblait qu'il me communiquait ses souffrances accompagnées de toutes ces branches pleines de fruits et de fleurs.
J'étais émerveillée de la bonté de Notre-Seigneur qui me faisait participer à tous ces biens. Jésus béni me dit :
"Ma fille bien-aimée, ne sois pas étonnée de ce que tu vois, car tu n'es pas la seule. De tout temps, j'ai eu des âmes qui, dans la mesure où c'est possible pour une créature, répondaient d'une façon ou d'une autre aux buts de la Création, de la Rédemption et de la Sanctification. Ces créatures ont pu accueillir tous les biens prévus pour ceux que j'ai créés, rachetés et sanctifiés.
Si, à chaque époque, je n'avais pas eu ne fût-ce qu'une personne répondant à cela, toute mon œuvre aurait été frustrée, au moins pour quelque temps.
C'est dans l'ordre de ma providence, de ma justice et de mon amour que, à chaque époque, il y ait eu au moins une créature avec qui j'ai pu partager tous mes biens et qui m'a donné tout ce qu'elle me devait en tant que créature. Autrement, à quoi bon avoir maintenu le monde ? En un instant, je l'aurais écrasé.
C'est justement pour cela que je me choisit des âmes victimes. Comme la justice divine a trouvé en moi tout ce qu'elle aurait dû trouver en chaque créature, c'est-à-dire qu'elle trouvait en moi tous les biens qu'elle aurait aimé voir en chaque créature.
Ainsi, je trouve tout cela en les âmes victimes et je leur partage tous mes biens.
Au temps de ma Passion, j'avais ma très chère Mère qui partageait toutes mes souffrances et tous mes biens : en tant que créature, elle était attentive à rassembler en elle tout ce que les créatures devaient m'offrir. Je trouvais en elle toute la satisfaction, la gratitude, l'action de grâce, la louange, la réparation et la correspondance.
Ensuite vinrent Madeleine et Jean. Et ainsi de suite à toutes les époques de l'Église
Pour faire en sorte que ces âmes me soient plus agréables et que je puisse me sentir attiré à tout leur donner, je les prépare : j'ennoblis leur âme, leur corps, leurs traits et jusqu'à leur voix, de sorte qu'une seule parole provenant d'elles a tellement de force, est si gracieuse, douce et pénétrante, qu'elle m'émeut et m'attendrit totalement. Je dis : "Ah ! C’est la voix de ma bien-aimée ! Je ne peux faire autrement que de l'écouter."
Faire le contraire serait comme vouloir me refuser à moi-même ce que Je veux.
Si je ne voulais pas l'écouter, je devrais lui enlever l'usage de la parole. La renvoyer les mains vides, non, jamais !
Entre cette âme et moi, circule un tel courant d'union qu'elle ne peut pas tout comprendre en cette vie, bien qu'elle comprendra tout avec clarté en l'autre".
Extrait du LIVRE DU CIEL
de Luisa PICCARRETA
4 Septembre 1905,
ô JESUS, comme je Te béni de nous avoir donné toutes ces personnes précieuses à Ton cœur.
Merci de nous avoir donné Maria Valtorta et ses visions magnifiques de l'Evangile tel qu'il m'a été révélé, comme sont précieuses ses descriptions qui bousculent les savants ;
Merci de nous avoir donné Josefa Menendez qui nous allume le cœur et ravive notre molle ferveur. Que d'amour et de souffrances rien que pour Toi.
Merci de nous avoir donné Luisa Piccarreta pour tous ces écrits si essentiels, si novateurs, si inimaginables... Insondables mystères sans Tes connaissances révélées ;
Merci de nous avoir donné Padre Pio pour nous monter tous les prodiges que Tu peux réaliser ici bas,
Enfin, merci pour toutes les autres âmes saintes que Tu as suscités parmi nous, elles sont nos petites lampes pour éclairer notre route et nos inconsciences ;
Merci d'être resté fidèle à cette parole :
"Et moi, je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin des temps." (Matthieu 28, 20)
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Veuille