Dieu créateur de parures
Notre Créateur est inspirateur de Haute Couture.
Admirez donc les détails de ces fleurs d'ancolie...
quels beaux drapés, n'est ce pas ?
Pour qu'ils imaginent de belles parures, de beaux vêtements, qu'ils apprennent à aimer ce qui est beau, IL a créé l'ancolie si belle, si parfaite, inspiratrice de drapés et de couleurs et la fleur de luzerne, le poix de senteur. Heureux les simples !
Dans le même ordre d'idées généreuses, aimant déjà cet homme à qui IL donnerait tout le bonheur qu'IL pourrait, Il a voulu l'inspirer pour qu'il embellisse toujours plus son intérieur.
Mais on peut aussi songer à la fleur du saing foin, de capucine !
Des milliers de fleurs sont à admirer, d'où nous pouvons en déduire que le Créateur aime ce qui est beau !
diverses ancolies... N'est ce pas de la Haute couture ?
Une autre variété d'ancolies.
N'est ce pas de la Haute Couture ?
A moins que ce ne soit les couturiers qui se soient inspirés de la nature...
Evidemment, c'est plutôt ça !
Mais les hommes ne se contentent pas de copier les drapés et les volutes de la nature,
il copie ses parfums aussi ! Tant de créativités...
Je n'aurai pas le temps
Michel Fugain
Je n'aurai pas le temps, pas le temps
Même en courant
Plus vite que le vent
Plus vite que le temps
Même en volant
Je n'aurai pas le temps, pas le temps
De visiter toute l'immensité
D'un si grand univers
Même en cent ans
Je n'aurai pas le temps de tout faire
J'ouvre tout grand mon cœur
J'aime de tous mes yeux
C'est trop peu
Pour tant de cœurs et tant de fleurs
Des milliers de jours
C'est bien trop court, bien trop court
Et pour aimer
Comme l'on doit aimer quand on aime vraiment
Même en cent ans
Je n'aurai pas le temps, pas le temps
Je n'aurai pas le temps, pas le temps
Rouge gorge en observation sur un camélia
L'humilité chez la femme
Ai-je déjà noté qu'avant même de créer l'homme, Dieu avait pour lui infiniment d'Amour ?
Que dire alors de la femme à qui Il donnerait la souffrance de l'enfantement...? Certain esprit y ont vu une punition à la suite de la faute commise par Eve. Mais étrangement, Ses créations et Ses desseins étant toujours pleins de paradoxes, Dieu a voulu que l'enfantement lui donne une chose que les hommes auraient bien du mal à acquérir : l'humilité !
Car après les douleurs de l'enfantement, la femme plus jamais ne peut se laisser aller à l'orgueil : avec ces souffrances lui est donnée la connaissance que tout lui échappe et qu'elle ne maitrise rien. La naissance d'un enfant est pour elle un rappel à l'humilité. Après quelques heures de souffrances toute idée orgueilleuse lui échappe... Les hommes n'auront pas cette chance...!
DIEU donne ses bénédictions par la femme...
La tradition juive n'a-elle pas raison de dire que c'est par la femme que Dieu donne ses bénédictions et ses richesses ? (Si nous étions tous juifs, le féminisme n'existerait-il ?)
D'ailleurs de cette idée découle une autre idée... (encore un motif de méditation...!)
Dans les pays où la femme est méprisée, bafouée, où les hommes sont si fiers d'eux, vit-on dans les largesses de la Vie ou dans la famine ? Qui vit dans le confort ? N'est-ce pas les pays où la femme est respectée, égale de l'homme ?
l'Ecclésiastique 36.26-27 : Eloge de la femme vertueuse
"Qui a une femme vertueuse a de quoi devenir riche, c'est une aide qui lui est semblable, une colonne d'appui.
Où il n'y a point de haie, le bien est exposé au pillage ; là où il n'y a point de femme, l'homme soupire dans le besoin."
C'est peut-être en pensant à la femme que Dieu généreux a voulu imaginer les premières parures!
Voici la première parure, l'homme amoureux n'aurait plus qu'à copier pour l'offrir à celle qui a été faite pour l'amour, pour le soutenir, pour le réconforter, pour perpétuer la Vie !
Toile d'araignée perlée de rosée...
Aviez vous remarqué que les pays où la femme est méprisée, violentée sont tous des pays pauvres ?
C'est que Dieu, (généreux pourtant !), prétend que la femme est l'égale de l'homme et pas un jouet pour sa perversion.
A cause de cette attitude, Dieu retient tous ses bienfaits.
Mais femme, reste cependant dans l'humilité et n'en devient pas tyrannique.
Ô Dieu, mon Dieu, comme j’aime découvrir tes merveilles... Et je constate que même dans l’infiniment petit, (au niveau du corps humain, je le savais déjà) Tu te révèles avec magnificence...
Et même dans le sable, ô mon Dieu, Tu révèles encore ton infinie créativité.
Tiens, je vais me faire un collier... de sable...
