Maria VALTORTA

Maria VALTORTA

1897 - 1961

Ecrivain exceptionnel,
aucun écrivain n'a laissé une telle œuvre !  

L'EVANGILE tel qu'il m'a été révélé
Maria Valtorta, mystique chrétienne. Membre du Tiers-Ordre des Servites de Marie, née à Caserte en Italie le 14 mars 1897 et morte le 12 octobre 1961 à Viareggio en Toscane. 
Clouée au lit depuis de nombreuses années déjà, Maria Valtorta reçoit, au plus sombre de la 2ème guerre mondiale, la vision complète des scènes de l'Évangile, de 1943 à 1947 (et dans une moindre mesure jusqu'en 1953). 
Ces visions des scènes de l'Évangile réunies dans une œuvre monumentale : "l'Évangile tel qu'il m'a été révélé". 10 tomes !
Cette vie de Jésus, étonnante de précisions, a été lue, à titre personnel, par trois Papes, des théologiens et biblistes et rencontre un succès populaire ininterrompu depuis 60 ans.     
Écrites sans aucunes ratures, les milliers de pages manuscrites relatent, dans un style vivant et  passionnant, les actes et les enseignements de Jésus au cours de ses trois années de vie publique, et les scènes de son enfance.     
Selon le selon le vœu de Pie XII :
"Publiez l’œuvre telle quelle. Il n’y a pas lieu de donner une opinion quant à son origine, qu’elle soit extraordinaire ou non. Ceux qui liront, comprendront."
Cette œuvre phénoménale, 10 tomes, est bouleversante de Vie, celle du Christ pendant son parcours sur la terre pour évangéliser la population d'Israël. Ceux qui l'ont lu disent que ces ouvrages ont bouleversé leur vie. Et c'est véritablement bouleversant.
Quelle œuvre immense que celle de Maria Valtorta !
Quel grand bien elle fait au monde en décrivant ses visions !
C'est une gageure de choisir des extraits, tout serait à afficher...
Dans ces ouvrages, la Vierge Marie s'exprime, Jésus y fait des analyses psychologiques de divers personnages, Pilate, Judas, etc.
Ces récits sont d'une richesse infinie.
On y comprend pourquoi Jésus fait tel acte, ce qui Le guide...
Maria Valtorta horizon-spirituel.com
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Toutes les maladies dont souffrait Maria Valtorta...

Maria Valtorta, en 1943 depuis son lit d'où elle écrit les visions  qu'elle reçoit.

Tout en gardant son lit et malgré ses grandes souffrances, elle écrivait de sa propre main et d'un seul jet, à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit, sans se sentir nullement dérangée par des interruptions occasionnelles, gardant toujours son aspect naturel.

Les seuls livres qu'elle pouvait consulter étaient "la Bible et le Catéchisme de Pie X".

Durant cette période, elle est accompagnée par le Père Romualdo Migliorini, un Servite de Marie (o.s.m.).

   Jésus lui-même dans une dictée du 2 juin 1946 adressée à l'ordre des Servites de Marie demandera à ce que l'on prenne soin de Maria Valtorta, en évoquant ses souffrances et l'état précis dans lequel sont les différents organes de son corps :


   "Vous avez affaire à un cœur fini, atrophié, arythmique, à des poumons asphyxiés, lacérés, mal cicatrisés, à une fièvre continue et croissante, à des nerfs et des vertèbres enflammés, paralysés, endurcis, à une plèvre, un péritoine, un péricarde envahi de liquides, à un foi engorgé, à des reins infestés" ;

(toutes choses que les Servites ont pu faire vérifier médicalement).
 
   Les dernières années de sa vie sont douloureuses, et à partir de 1956, Maria Valtorta s'offre toute entière à Dieu, jusqu'à sa propre intelligence.


Elle s'éteint le 12 octobre 1961 à 10h35. Selon les directives de Jésus, la publication de Son œuvre devait être posthume. En guise de testament spirituel, Maria Valtorta laisse comme souvenir, la phrase suivante :

"J'ai fini de souffrir, mais je continuerai à aimer".   


Padre Pio de son vivant recommandait la lecture des écrits de Maria Valtorta.

Voici un Témoignage unique : A Emilio Pisani

Très cher ami en Jésus,

Je m’appelle Rosi Giordani, fille spirituelle de Padre Pio, je suis originaire de Bologne mais je vis ici depuis longtemps avec ma mère qui est de 1897, comme Maria Valtorta. Papa repose dans le cimetière de ce village depuis douze ans. En 1981, nous avons assisté, maman et moi, à la célébration de l’anniversaire de la mort de Maria Valtorta dans la basilique de Santa Maria Annunziata à Florence. J’étais avec ce cher Domenico Fiorillo; j’ai embrassé Marta et j’ai écouté son magnifique discours.

Je vous écris principalement pour vous raconter ce qui suit: une fille spirituelle de Padre Pio, une des premières, Mme Elisa Lucchi, dite Malvina, originaire de Forli demanda en confession à Padre Pio, un an avant la mort de ce dernier :

"Padre, j’ai entendu parler des livres de Maria Valtorta. Me conseillez-vous de les lire ?"

Réponse du Padre :

"Je ne te le conseille pas, je te l’ordonne !"

San Giovanni Rotondo, le 7 janvier 1989.

Rosi Giordani.

Nous recommandons à la lecture le livre de Severino Caruso. Il se place dans la continuité des travaux en rapport à l’œuvre de Maria Valtorta. L’auteur restitue dans ce livre une découverte et un récit spirituel unique, sur les pas du Christ en Terre Sainte, d’après les visions de la mystique.




"Et quand la Bonté Divine vous donne une grâce, usez du bienfait reçu pour rendre gloire à Dieu. Ne soyez pas des fous qui d’un objet utile se font une arme nuisible et comme des prodigues qui transforment leur richesse en misère.
C’est trop la douleur que vous me donnez, ô fils, derrière le visage de qui je vois apparaître l’Ennemi, celui qui se rue contre mon Jésus. Trop de douleur ! Je voudrais être pour tous la Source de la Grâce. Mais trop d’entre vous ne veulent pas de la Grâce. Vous demandez "grâces" mais avec une âme qui ne possède pas la Grâce. Et comment la Grâce peut-elle vous secourir si vous en êtes les ennemis ? 
Le grand mystère du Vendredi Saint approche. Tout dans les églises le rappelle et le célèbre. Mais il faut célébrer et en rappeler le souvenir dans vos cœurs en vous battant la poitrine comme ceux qui descendaient du Golgotha, et dire : Celui-là est vraiment le fils de Dieu le Sauveur et dire : Jésus par ton Nom, sauve-nous et dire : Père, pardonne-nous. Et finalement : Seigneur je ne suis pas digne mais si tu me pardonnes et viens vers moi, mon âme sera guérie et je ne veux pas, non, je ne veux plus pécher pour retourner à mon mal et en haine envers Toi.
Priez mes fils avec les paroles de mon Fils. Dites avec lui au Père pour vos ennemis : Père pardonne-leur. Appelez le Père qui s’est retiré de vous, indigné par vos erreurs : Père, Père, pourquoi m’as-tu abandonné ? Je suis pécheur, mais si tu m’abandonnes, je périrai. Reviens Père Saint pour que je me sauve. Confiez à l’Unique qui peut le conserver à l’abri des coups du démon votre bien éternel, votre esprit : Père entre tes mains, je remets mon esprit. 
Oh si humblement et d’un cœur affectueux, vous remettez votre esprit à Dieu, Lui vous conduit, comme un père son petit et ne permet pas que rien ne lui fasse tort. Jésus en ses agonies a prié pour vous enseigner à prier. 
Je vous le rappelle en ces jours de la Passion. Et toi, toi, qui vois ma joie de Mère et en es extasiée, ramène à ta mémoire cette pensée : que j’ai possédé Dieu a travers une douleur sans cesse grandissante. Il est descendu en moi avec le Germe de Dieu et comme un arbre gigantesque a grandi jusqu’à toucher le Ciel de sa cime et aussi l’Enfer de ses racines, quand j’ai reçu sur mon sein la dépouille inanimée de la Chair de ma chair, quand j’en ai vu et compté les déchirures atroces, quand j’ai touché son cœur qui avait été lacéré pour consommer la douleur jusqu’à la dernière goutte de Son sang.
Tempête apaisée
extrait du 3e tome de
L'EVANGILE TEL QU'IL M'A ETE REVELE

JESUS explique :
"LES MALHEURS SERVENT A VOUS PERSUADER DE VOTRE NEANT".
Jésus dit ensuite :
Je ne te commente pas l'Evangile dans le sens où tous le commentent. Je vais t'éclairer ce qui précède le passage de l'Evangile.
Pourquoi est-ce que je dormais ? Est-ce que par hasard je ne savais pas que la bourrasque allait arriver ? Oui. Je le savais. J'étais seul à le savoir. Et alors pourquoi est-ce que je dormais ?
Les apôtres étaient des hommes Maria. Animés de bonne volonté, mais encore seulement des "hommes". L'homme se croit toujours capable de tout. Quand, ensuite, il est réellement capable dans une chose, il est plein de suffisance et d'attachement à son "savoir-faire". Pierre, André, Jacques et Jean étaient de bons pêcheurs et pour ce motif, ils se croyaient insurpassables dans la manœuvre des bateaux. Moi, pour eux j'étais un grand "Rabbi" mais une nullité comme marin. C'est pourquoi ils me jugeaient incapable de les aider et quand ils montaient dans la barque pour traverser la mer de Galilée, ils me priaient de rester assis parce que j'étais incapable d'autre chose. Leur affection aussi y était pour quelque chose, et ils ne voulaient pas m'imposer des fatigues matérielles. Mais l'attachement à leur "savoir faire" dépassait encore l'affection.
Je ne m'impose que dans des cas exceptionnels, Maria. Généralement je vous laisse libres et j'attends. Ce jour-là j'étais fatigué et on me priait de me reposer, c'est-à-dire de les laisser faire, eux qui étaient si capables. Alors je me suis mis à dormir. Dans mon sommeil se mêlait aussi cette constatation de ce que l'homme est "homme" et qu'il veut agir par lui-même sans se rendre compte que Dieu ne demande qu'à l'aider. En ces "sourds spirituels" en ces "aveugles spirituels", je voyais tous les sourds et aveugles spirituels qui pendant des siècles et des siècles iraient à leur ruine "pour vouloir agir par eux-mêmes" alors que je suis penché sur leurs besoins en attendant qu'ils m'appellent à l'aide.
Quand Pierre crie : "Sauve-nous !" mon amertume tomba comme un caillou qu'on laisse aller. Je ne suis pas "homme", je suis le Dieu-Homme. Je n'agis pas comme vous agissez. Vous, quand quelqu'un a repoussé votre conseil ou votre aide, et que vous le voyez dans l'embarras, même si vous n'êtes pas assez méchants pour vous en réjouir, vous l'êtes assez pour rester dédaigneux, indifférents à le regarder sans vous émouvoir de son appel à l'aide. Par votre attitude, vous lui faites comprendre : "Quand j'ai voulu t'aider, tu n'as pas voulu? Maintenant, débrouille-toi". Mais Moi, je suis Jésus. Je suis le Sauveur. Et je sauve, Maria. Je sauve toujours dès qu'on m'appelle.
Les pauvres hommes pourraient objecter : "Et alors pourquoi permets-tu aux tempêtes isolées ou généralisées de se former ?" Si, par ma puissance, je détruisais le mal, quelqu'il soit, vous arriveriez à vous croire les auteurs du Bien qui en réalité serait un don de ma part et vous ne vous souviendriez plus jamais de Moi. Jamais plus. Vous avez besoin, pauvres fils, de la douleur pour vous rappeler que vous avez un Père. Comme le fils prodigue qui se rappela qu'il avait un père quand il eut faim.
Les malheurs servent à vous persuader de votre néant, de votre déraison, cause de tant d'erreurs et de votre méchanceté, cause de tant de deuils et de douleurs, de vos fautes, cause de punitions que vous vous donnez à vous-mêmes, et de mon existence, de ma puissance, de ma bonté. Voilà ce que vous dit l'Evangile d'aujourd'hui. "Votre" Evangile de l'heure présente, pauvres fils.
Appelez-moi. Jésus ne dort que parce qu'Il est angoissé de vous voir sans amour pour Lui. Appelez moi et je viendrai."
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notice de commande
à l'unité, tome 1 à 10 :
La collection complete : 218.50 €
port compris 
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