Tout en gardant son lit et malgré ses grandes souffrances, elle écrivait de sa propre main et d'un seul jet, à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit, sans se sentir nullement dérangée par des interruptions occasionnelles, gardant toujours son aspect naturel.
Les seuls livres qu'elle pouvait consulter étaient "la Bible et le Catéchisme de Pie X".
Durant cette période, elle est accompagnée par le Père Romualdo Migliorini, un Servite de Marie (o.s.m.).
Jésus lui-même dans une dictée du 2 juin 1946 adressée à l'ordre des Servites de Marie demandera à ce que l'on prenne soin de Maria Valtorta, en évoquant ses souffrances et l'état précis dans lequel sont les différents organes de son corps :
"Vous avez affaire à un cœur fini, atrophié, arythmique, à des poumons asphyxiés, lacérés, mal cicatrisés, à une fièvre continue et croissante, à des nerfs et des vertèbres enflammés, paralysés, endurcis, à une plèvre, un péritoine, un péricarde envahi de liquides, à un foi engorgé, à des reins infestés" ;
(toutes choses que les Servites ont pu faire vérifier médicalement).
Les dernières années de sa vie sont douloureuses, et à partir de 1956, Maria Valtorta s'offre toute entière à Dieu, jusqu'à sa propre intelligence.
Elle s'éteint le 12 octobre 1961 à 10h35. Selon les directives de Jésus, la publication de Son œuvre devait être posthume. En guise de testament spirituel, Maria Valtorta laisse comme souvenir, la phrase suivante :
"J'ai fini de souffrir, mais je continuerai à aimer".
Voici un Témoignage unique : A Emilio Pisani
Très cher ami en Jésus,
Je m’appelle Rosi Giordani, fille spirituelle de Padre Pio, je suis originaire de Bologne mais je vis ici depuis longtemps avec ma mère qui est de 1897, comme Maria Valtorta. Papa repose dans le cimetière de ce village depuis douze ans. En 1981, nous avons assisté, maman et moi, à la célébration de l’anniversaire de la mort de Maria Valtorta dans la basilique de Santa Maria Annunziata à Florence. J’étais avec ce cher Domenico Fiorillo; j’ai embrassé Marta et j’ai écouté son magnifique discours.
Je vous écris principalement pour vous raconter ce qui suit: une fille spirituelle de Padre Pio, une des premières, Mme Elisa Lucchi, dite Malvina, originaire de Forli demanda en confession à Padre Pio, un an avant la mort de ce dernier :
"Padre, j’ai entendu parler des livres de Maria Valtorta. Me conseillez-vous de les lire ?"
Réponse du Padre :
"Je ne te le conseille pas, je te l’ordonne !"
San Giovanni Rotondo, le 7 janvier 1989.
Rosi Giordani.
Nous recommandons à la lecture le livre de Severino Caruso. Il se place dans la continuité des travaux en rapport à l’œuvre de Maria Valtorta. L’auteur restitue dans ce livre une découverte et un récit spirituel unique, sur les pas du Christ en Terre Sainte, d’après les visions de la mystique.
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Veuille