L'athée, l'agnostique se veut libre...
Mais assez libre d'esprit pour lire toutes ces notions suivantes qui dérangent ?
C'est quelqu'un qui sait qu'il doit / qu'il veut se débrouiller tout seul !
Quelqu'un qui n'imagine pas pouvoir recevoir d'aide de quiconque, mis à part un parent, un ami bien placé, une institution ou l'Etat. Et certainement pas de quelqu'un de "Grand", de transcendant, d'une entité particulière quelque soit le nom qu'on lui donne.
De la même façon, il ne doit rien à personne. Ce qu'il est ou n'est pas c'est à lui qu'il le doit.
Un athée envisage la vie, la sienne sur une courte période : naissance, vie, mort puis poussière, c'est-à-dire rien.
Il pense qu'à sa mort ne restera rien de lui et l'âme c'est une vaste fumisterie ! Sinon, ça se saurait ! Et si lui ne le sait pas c'est que ça n'existe pas ! Formidable orgueil ! Même les chercheurs qui ont tenté d'identifier, localiser l'âme n'y sont pas arrivés avec leurs outils sophistiquées, alors c'est que ça n'existe pas. Un athée est facilement orgueilleux.
La mort c'est un long sommeil et on ne s'en réveille pas. Et ça lui plait bien ! L'idée d'un jugement après sa mort est une idée dérangeante, il n'en veut pas, la mort c'est être enfin tranquille ! Et il est sûr que puisqu'il croit que ça va se passer comme ça, ça se passera comme ça ! Sauf si :
Si vous lui demandez : "et si ça ne se passe pas comme ça ?" Là, il n'a plus d'argument !
Si vous enchainez : "crois-tu tout savoir ? T'es tu au moins renseigné ? As-tu lu des livres qui en parle ?"
Ce sera probablement un long silence qui suivra. Qu'il faudra bien prendre garde de ne pas interrompre. Ce devra être lui qui répondra à ses questions ! Histoire qu'il se retourne dans sa logique. Et l'athée a souvent besoin de beaucoup de temps.
Un athée se définit rationnel et surtout pas un rêveur, quelle horreur. C'est St Thomas et s'il cite souvent ce nom, la plupart du temps, il ne sait pas qui est St Thomas : "je ne crois que ce que je vois, on ne me raconte pas n'importe quoi !" et il en est fier. Fier de ne pas être dupe ! Non, mais c'est qu'il est intelligent lui !
Dans mes relations, je connais un homme de plus de 60 ans qui est tellement fier d'être ingénieur et croire en Dieu, non mais il ne peut pas y croire, il est trop intelligent pour ça !
C'est ainsi que je réfléchissais...
"Ne dites pas : c'était le destin.
N'oublie jamais que Dieu connaît vos destins, mais c'est vous qui faites votre destin. Il ne violente pas votre liberté d'agir. Il vous donne les moyens et les conseils, il vous donne les avertissements pour vous remettre dans le droit chemin, mais si vous ne voulez pas rester sur ce chemin, il ne vous y forcera pas.
Vous êtes libres. Il vous a créés majeurs.
C'est une joie pour Dieu si vous restez dans la maison du Père, mais si vous dites : "je veux m'en aller", il ne vous retient pas. Il pleure sur vous et s'afflige de votre destin. Il ne veut pas en faire plus, car en en faisant plus, il vous enlèverait la liberté qu'il vous a donnée. C'est une joie pour Dieu quand sous la morsure de la disette, comprenant que la joie n'est que dans la maison du Père, vous revenez à lui. La joie et la reconnaissance de Dieu vont à ceux qui par leur sacrifice et leurs prières surtout ces deux choses et puis par leurs paroles, réunissent à me rendre un enfant. Mais rien de plus.
En revanche, sache que ceux qui sont dans ma main comme de l'argile molle dans la main du potier sont les élus de mon cœur. Ma main est sur eux comme une caresse. Mes caresses les modèlent, leur donnant mon empreinte et les façonnant à la ressemblance de ma douceur de ma charité, de ma pureté et de la plus belle de toutes les ressemblances, celle de ma Rédemption.
CAHIERS DE 1943
de Maria Valtorta, page 305
Orgueilleux, méfie-toi de toi ! Méfie-toi de ton jugement.
Nier Dieu est la marque d'un orgueil trop épais, trop bien établi.
Une conscience aveugle croit bien ce qui est mal, elle croit mauvais ce qui est salutaire. Son orgueil lui a fait perdre la connaissance. L'adversaire l'inspire, la guide, la dupe en attendant d'en faire sa demeure et son éternelle proie au séjour des supplices.
La création tout entière contient les ‘Je t'aime’ de Dieu.
Dieu donne sa Volonté à l'âme afin qu'elle puisse lui retourner son amour manifesté dans la Création.
Je veux te faire connaître comment, sur ses ailes, toute la création apporte mes "je t'aime" aux créatures, comment, sur ces mêmes ailes, les créatures devraient me donner la réplique par leurs propres "je t'aime".
Vois le ciel azuré : il n'y a pas un seul point de ce ciel où mes "je t'aime" pour les créatures ne sont pas imprimés.
Chaque étoile avec sa couronne scintillante arbore un "je t'aime". Chaque rayon de soleil apportant la lumière sur la terre, chaque parcelle de cette lumière porte un "je t'aime". Pendant que la lumière du soleil couvre la terre et que l'homme regarde cette terre et marche dessus, mes "je t'aime" atteignent ses yeux, sa bouche, ses mains et s'étendent sous ses pieds.
Les vagues de l'océan murmurent à l'homme "je t'aime" ; "je t'aime" ; "je t'aime" Toutes les gouttes d'eau sont autant de notes qui forment les plus belles harmonies de mon "je t'aime" infini.
Les plantes, les feuilles, les fleurs, les fruits ont mes "je t'aime" imprimés en eux.
Ainsi, la création tout entière apporte à l'homme mes "je t'aime" sans cesse répétés.
Et l'homme lui-même, combien de mes "je t'aime" ne porte-t-il pas dans tout son être ? Ses pensées sont scellées par mes "je t'aime".
Son cœur, qui palpite dans sa poitrine avec ce mystérieux "tic, tic, tic ... ", lui répète sans cesse : je t'aime" ; "je t'aime" ; "je t'aime".
Ses mots sont accompagnés de mes "je t'aime".
Ses mouvements, ses pas et tout le reste sont marqués des "je t'aime" de leur Créateur.
Cependant, au milieu d'un tel débordement de mes "je t'aime", l'homme est incapable de sortir de lui-même pour répondre à mon Amour.
Quelle ingratitude et combien mon Amour en est blessé !
Mon amour veut absolument un retour d'amour de la part des créatures.
Luisa PICCARRETA,
dans la DIVINE VOLONTE
Tome 16 - Page 8 - 1er août 1923 -
Avoir la Foi ne serait-ce que pour être en bonne santé, ça c'est une idée neuve...!!
Le 19 mai, le soir,
Jésus dit : " Telle est la punition de votre orgueil. Vous en avez trop voulu et vous allez ainsi perdre même ce que je vous avais accordé. Les œuvres de l'intelligence et de l'esprit humains, dons que je vous ai faits, ces œuvres dont vous êtes si fiers sont réduites en poussière pour vous rappeler que Moi seul suis éternel, Moi seul suis le Dieu, Moi seul suis Moi.
Mais ce qui est de Moi demeure. Ni l'homme ni le démon ne peuvent le détruire. Aucun attentat, aucune ruse ne peut détruire ce que je fis et qui restera toujours pareil tant que Je le voudrai. La mer, le ciel, les étoiles, les monts, les fleurs des collines et les vertes forêts. Intouchables ceux là, comme Moi-même tandis que ceux-ci renaissent à chaque mort passagère que leur infligent les humains, tout comme je suis ressuscité de la brève mort qu'ils me donnèrent. Et les plantes arrachées, les herbes piétinées par la guerre reviendront à la vie comme je les fis le premier jour.
Mais pas vos œuvres. Pas vos œuvres d'art. Elles ne revivront jamais plus, les églises et les coupoles, ni les palais et les monuments dont vous vous faisiez une gloire, ces œuvres érigées au fil des siècles et détruites en un instant pour votre punition. Il en va de même pour des œuvres du progrès : elles s'effritent avec votre stupide orgueil qui se prend pour un dieu uniquement parce qu'il les a inventés et elles se retournent contre vous, augmentant la destruction et la souffrance.
Ma création, elle demeure et encore plus belle car, dans son immuabilité qu'aucun engin ne peut même égratigner, elle parle de Moi encore plus fort.
Tout ce qui est de vous s'écroule. Mais souvenez-vous, pauvres humains qu'il vaut mieux pour vous rester sans rien en m'ayant Moi que vivre au sommet de l'art et du progrès m'ayant perdu. Une seule chose est nécessaire à l'être humain, le règne de l'esprit où je suis, le Règne de Dieu."
Extraits des "Les CAHIERS DE 1943 de Maria Valtorta
Page 26,
Le 1er Juin :
"Pour être sauvés, pauvres humains qui tremblez de peur, il suffirait que, en tant que mes vrais enfants et non des bâtards dont je ne suis le Père que de nom –alors que le vrai père est l'autre (satan)- vous sachiez ravir de mon cœur une étincelle de ma miséricorde.
Et mon souhait est que vous me le ravissiez.
Je reste la poitrine ouverte pour que vous puissiez atteindre mon coeur plus facilement.
Je regarde mon troupeau... Est-il à moi ? Plus maintenant. Vous étiez mes petites brebis mais vous avez quitté mes pâturages... Une fois sortis, vous avez trouvé le malin qui vous a séduits et vous ne vous êtes plus souvenus que c'est au prix de mon Sang que je vous avais rassemblés et sauvés des loups et des mercenaires qui voulaient vous tuer. C'est Moi qui suis mort pour vous, pour vous donner la vie et la pleine vie comme celle que j'ai dans le Père. Et vous, vous avez préféré la mort. Vous vous êtes placés sous le signe du Malin et il vous a transformés en boucs sauvages. Je n'ai plus de troupeau. Le Pasteur pleure.
Il ne me reste que quelques agneaux fidèles, prêts à tendre le cou au couteau du sacrificateur afin de mêler leur sang, non pas innocent mais aimant, à mon propre Sang très innocent et de remplir le calice qui sera levé au dernier jour pour la dernière Messe, avant que vous ne soyez appelé au terrible Jugement. Grâce à ce Sang et à ces autres sangs, je pourrai récolter ma dernière moisson pari les derniers à être sauvés. Tous les autres... ils serviront de litière pour le repos des démons et de ramille pour le feu éternel.
Mais mes agneaux seront avec moi. Dans un lieu choisi par moi pour leur bienheureux repos après tant de luttes. Ce lieu n'est pas le même que celui des autres âmes sauvées. Pour les généreux, il y a un lieu spécial. Ni parmi les martyrs ni parmi les sauvés. Ils seront moins que les premiers et beaucoup plus que les seconds et se situent entre les deux cortèges.
Persévérez vous qui m'aimez. Ce lieu mérite bien tous vos présents efforts car c'est la zone des co-rédempteurs, à la tète desquels se trouve Marie, ma Mère.
Extraits des "Les CAHIERS DE 1943 de Maria Valtorta,
Page 38
"Un monde sans foi, c'est le règne de l'absurde, qui a pour référence le néant et conduit le plus souvent au désespoir, voir au suicide, dans certains cas.
Malgré toutes ses merveilles, la SCIENCE est incapable de répondre aux questions vitales, elle ne peut que faire le tour de l'homme, sans parvenir dans son "moi". Il y a en la science, malgré ses réussites, comme une absence qui laisse l'homme dans sa solitude et sur sa faim, constate Lévi-Strauss.
Elle ne nous permet de découvrir que le "comment" des choses, alors que la foi nous fait connaître le "pourquoi" : pourquoi on nait, on souffre, on meurt.
Comme le rappelait Kant, "La science ne peut et ne pourra jamais définir Dieu car il lui échappe totalement.
Mais science et foi convergent malgré tout vers une même vérité"
Sous prétexte que l'homme avec ses "fabuleuses" machines ne sait pas créer ces êtres précieux, l'homme en déduit qu'ils n'ont pu être créé que par le hasard... Faut-il avoir l'esprit obtu pour en venir à de telles déductions.
Il semble qu'une incohérence technique se soit glissée dans la redirection de l'adresse mail. Nous nous en excusons car vos messages ne sont pas arrivés à destination et vous n'avez donc pas reçu de réponse.
Nous en sommes extrêmement désolés. Nous en sommes même meurtris de cette erreur lourde dont nous sommes responsables.
Veuillez nous en excuser.
Veuille