Jésus dit :
'' Personne n'a le droit de faire violence à son corps et à sa vie, car la vie et le corps viennent de Dieu, et Lui seul a le droit d'en prendre une partie ou le tout.
Mais pourtant je vous dis que si votre main vous scandalise, il vaut mieux que vous la coupiez, que si votre pied vous porte à donner du scandale, il est bien que vous le coupiez. Il vaut mieux pour vous entrer manchots ou boiteux dans la Vie que d'être jetés au feu éternel avec les deux mains et les deux pieds. Et s'il ne suffit pas d'un pied ou d'une main coupés, faites vous couper aussi l'autre main ou l'autre pied, pour ne plus donner de scandale et pour avoir le temps de vous repentir avant d'être jetés là où le feu ne s'éteint pas et ronge comme un ver pour l'éternité. Et si c'est votre œil qui est pour vous occasion de scandale, arrachez-le. Il vaut mieux être borgne que d'être dans l'enfer avec les deux yeux. Avec un seul œil ou même sans aucun, arrivés au Ciel, vous verrez la Lumière, alors qu'avec les deux yeux scandaleux, vous verrez dans l'enfer les ténèbres et l’horreur. Et rien d'autre.
- Rappelez-vous tout cela.
Ne méprisez pas les petits, ne les scandalisez pas, ne vous moquez pas d'eux.
Ils sont plus que vous, car leurs anges ne cessent de voir Dieu qui leur dit les vérités qu'ils doivent révéler aux enfants et à ceux qui ont un cœur d'enfant.
Et vous, comme des enfants, aimez-vous entre vous, sans disputes, sans orgueil. Restez en paix entre vous. Ayez un esprit de paix pour tous. Vous êtes frères, au nom du Seigneur, et non pas ennemis. Il n'y a pas, il ne doit pas y avoir d'ennemis pour les disciples de Jésus. L'unique Ennemi, c'est Satan. Pour lui, soyez des ennemis implacables, entrez en lutte contre lui et contre les péchés qui amènent Satan dans les cœurs. ''
Maria Valtorta tome 5
'' Les tout petits '' modèles à ne pas scandaliser
Extrait de l'EVANGILE TEL QU'IL M'A ETE REVELE de Maria VALTORTA, tome 5, page 274,
Respecter les enfants
Maria Valtorta est une mystique italienne qui recevait les messages de Jésus, l'éternel vivant comme il se définit Lui-même.
Sous sa dictée, elle nous a laissé ce texte important quant aux enfants.
Lisez le attentivement et vous constaterez à quel point les musulmans sans dans l'erreur dans leur façon d'abuser des fillettes et des petits enfants, par rapport aux mariages forcés des petites filles avec des hommes déjà trop adultes :
"Observez comme m'aiment les enfants et imitez-les. Comme ils croient en Moi et imitez-les. Comme ils se souviennent de ce que je dis et imitez-les. Comme ils font ce que j'enseigne et imitez-les. Comme ils ne s'enorgueillissent pas de ce qu'ils font et imitez-les. Comme ils n'ont pas de jalousie pour Moi ni pour leurs compagnons et imitez-les. En vérité, je vous dis que si vous ne changez pas votre manière de penser, d'agir et d'aimer et si vous ne vous refaites pas sur le modèle des tout petits, vous n'entrerez pas dans le Royaume des Cieux. Eux savent ce que vous savez, ce qu'il y a d'essentiel dans ma doctrine. Mais avec quelle différence, ils pratiquent ce que j'enseigne ! Vous, vous dites pour toute bonne action que vous accomplissez : "J'ai fait".
L'enfant dit : "Jésus, je me suis souvenu de Toi aujourd'hui et à cause de Toi j'ai obéi, j'ai aimé, j'ai contenu un désir de me battre... et je suis content parce que Toi je le sais, tu sais quand je suis bon et tu en es content. Et encore considérez les enfants quand ils agissent mal. Avec quelle humilité, ils me l'avouent : "aujourd'hui j'ai été méchant. Et cela me déplait parce que je t'ai donné de la douleur". Ils ne cherchent pas d'excuses. Ils savent que je sais, ils croient, ils souffrent de ma douleur.
Oh ! Ils sont chers à mon cœur, les enfants, en qui il n'y a pas d'orgueil, pas de duplicité, pas de luxure ! Moi, je vous le dis, devenez semblables à ces petits, si vous voulez entrer dans mon Royaume. Aimez les petits comme l'exemple angélique que vous pouvez encore avoir. Vous devriez être comme des anges. Pour vous excuser, vous pourriez dire : "Nous ne voyons pas les anges". Mais Dieu vous donne les enfants comme modèles et eux, vous les avez parmi vous. Et si vous voyez un enfant abandonné matériellement, ou abandonné moralement et qui peut périr, accueillez-le en mon Nom, parce qu'eux sont très aimés de Dieu. Et quiconque accueille un enfant en mon Nom, m'accueille Moi-même, parce que je suis dans l'âme innocente des enfants. Et celui qui m'accueille, accueille Celui qui m'envoyé, le Seigneur Très Haut.
Et gardez-vous de scandaliser un de ces petits dont l'œil voit Dieu. On ne doit jamais donner de scandale à personne.
Mais malheur, trois fois malheur, à celui qui déflore la candeur ignorante des enfants !
Laissez-les anges, le plus que vous pouvez. Trop répugnants sont le monde et la chair pour l'âme qui vient des Cieux ! Et l'enfant, par son innocence est encore tout âme.
Respectez l'âme de l'enfant et son corps lui-même comme vous respectez un lieu sacré. Sacré est aussi l'enfant car il a Dieu en lui. En tout corps se trouve le temple de l'Esprit mais le temple de l'enfant est le plus sacré et le plus profond et il est au-delà du double Voile. Ne remuez même pas les voiles de la sublime ignorance de la concupiscence par le vent de vos passions. Je voudrais un enfant dans toute famille, au milieu de toute réunion de personnes pour qu'ils servent de frein aux passions des hommes.
L'enfant sanctifie, restaure et rafraichît par le seul rayonnement de ses yeux sans malice. Mais malheur à ceux qui enlèvent sa sainteté à l'enfant par leur scandaleuse manière d'agir ! Malheur à ceux qui par leur conduite licencieuse transmettent leur malice aux enfants ! Malheur à celui qui par leurs propos et leur ironie blessent la foi que les enfants ont en Moi ! Il vaudrait mieux qu'à tous ceux là on attache à leur cou une meule de moulin et qu'on les jette à la mer pour qu'ils s'y noient avec leurs scandales. Malheur au monde pour les scandales qu'il donne aux innocents !
Car s'il est inévitable qu'il arrive des scandales, malheur à l'homme qui les provoque par sa faute !
Extrait de l'EVANGILE TEL QU'IL M'A ETE REVELE de Maria VALTORTA, tome 5, page 274,
Beaucoup de voies s'élèvent dans le monde pour que cette habitude infame de vendre les enfants s'arrête.
Pourquoi une telle barbarie de la part des parents encore aujourd'hui ?
Pourquoi les hommes se servent-ils de petites filles pour leurs perversions telles les faisaient Mahomet ?
L'ignorance voulue par l'islam est cause d'une telle aberration.
Reportage paru dans Paris-Match
Elles ont l’âge de jouer à la poupée mais se retrouvent prisonnières d’hommes dont elles deviennent la propriété pour assouvir toutes leurs perversions.
Sur les clichés, elles ont le regard fuyant, triste, vide ou embué de larmes… Quand elles posent auprès de ces époux qu’elles n’ont pas choisis, jamais elles ne sourient.
Tehani, elle, se cachait dès que Majed, son mari, approchait. Pas pour jouer, non… mais pour échapper aux assauts de cet homme de 25 ans alors qu’elle n’en avait que 6.
"Pendant l'acte sexuel, (et ça n'avait rien à voir avec l’amour, je pleurais et je le suppliais d’arrêter, mais il ne m’écoutait pas, a-t-elle raconté. Il mettait ses mains sur ma bouche… Et je ne faisais que pleurer."
Tehani est yéménite, originaire de la région montagneuse de Hajjah. Dans son pays, presque la moitié des femmes ont été mariées alors qu’elles n’étaient que des enfants.
La photographe Stephanie Sinclair a décidé de se consacrer à leur cause depuis ce jour de 2003 quand, en Afghanistan, elle découvre, dans un service hospitalier pour grands brûlés, les corps meurtris de femmes qui se sont immolées par le feu. Toutes ont tenté d’échapper à une union forcée qui avait fait de leur vie un calvaire. Parmi elles, se trouvait cette fillette.
Le mariage, défini comme l’union de deux adultes consentants, n’a pas cours là où elles vivent. Même si Stephanie Sinclair a déjà couvert de nombreux conflits, l’image de ces mortes vivantes lui revient comme une obsession :
"Je ne me serais jamais impliquée autant si je n’avais pas été confrontée d’emblée à cette question de manière si violente."
A quoi le quotidien de ces jeunes filles pouvait-il bien ressembler pour qu’elles choisissent d’en finir de la pire des façons ? En sondant cette question, la photographe découvre les ramifications personnelles, sociales, médicales, politiques posées par cette problématique. Elle en a documenté tous les aspects ou presque.
Certaines fillettes sont données par leurs parents pour réparer un affront ou honorer une dette, vendues, sacrifiées à la survie du reste de la famille.
La mère de Ghulam, elle, a marié sa fille de 11 ans à Faiz, 40 ans, pour pouvoir nourrir ses autres enfants. Monnaie d’échange, souffre-douleur corvéable à merci, aux champs comme à la maison, objet sexuel, dans ces sociétés rurales, conservatrices, pauvres et religieuses, la femme-enfant n’a de valeur que patrimoniale, commerciale, laborieuse ou reproductrice.
A fortiori en Afghanistan où les questions importantes, mais aussi le plaisir, ne se partagent qu’entre hommes.
"C’est là-bas que j’ai vu les cas les plus dramatiques, des fillettes très jeunes mariées à des hommes âgés et où la violence contre les femmes est extrême" explique Stephanie avant de citer l’histoire de ces trois hommes qui, pour l’empêcher de fuir, ont coupé le nez et les oreilles de celle qui était leur sœur. La honte, encore.
La photographe ne pense pas pour autant que les parents marient leurs enfants pour leur faire du mal. Il arrive que les mères soient particulièrement dures avec leurs filles pour les rendre plus fortes. Elles savent ce qu’elles auront à supporter mais rares sont celles qui s’y opposent ou se battent pour les laisser étudier. Comme beaucoup de victimes, ces femmes reproduisent ce qu’elles ont vécu elles-mêmes.
Comme cette Indienne qui a retiré de l’école sa fille de 7 ans, tout juste mariée mais encore trop petite pour vivre avec son époux à peine plus âgé. Lorsque les mariés sont trop jeunes pour consommer le mariage, deux cérémonies ont lieu à quelques années d’intervalle, l’une pour sceller leur union, l’autre pour la rendre effective. La fillette aurait pu continuer d’aller en classe. Sa mère en a décidé autrement : "Pourquoi nourrir la vache de quelqu’un d’autre ?"
Elle ne voit pas seulement son enfant comme un animal, explique Stephanie, elle se pense aussi comme ça. Elle n’a aucune conscience d’elle-même et, sans éducation, cela ne peut pas changer. Traitées comme des choses, les fillettes grandissent persuadées qu’elles sont nées pour subir. Il arrive aussi qu’elles soient mariées pour une « cause », comme les malheureuses de Chibok ou d’autres villes et villages du Nigeria dévastés par la secte djihadiste de Boko Haram. Unies selon la charia à des combattants après avoir été enlevées, elles sont là pour enfanter de futurs soldats de Dieu.
Sur ce cliché qu’on nous envoie, on voit des mères qui amènent leurs filles dans le village où elles vont épouser chacune leur mari, aveuglées par un masque pour qu’elles ne puissent pas retrouver le chemin de leur village natal.
La photo a été prise en 2010, au Yémen.
“Je trouve ça assez effrayant comme violence !“
Il semble qu'une incohérence technique se soit glissée dans la redirection de l'adresse mail. Nous nous en excusons car vos messages ne sont pas arrivés à destination et vous n'avez donc pas reçu de réponse.
Nous en sommes extrêmement désolés. Nous en sommes même meurtris de cette erreur lourde dont nous sommes responsables.
Veuillez nous en excuser.
Veuille